Revue de presse ─ du 16 au 31 mars 2015
L’Economiste : Une nouvelle génération de ZI à Casablanca
Passer des zones industrielles aux parcs d’activité de dernière génération, c’est le défi que doit relever la capitale économique pour faire face à ses besoins en unités de production. La métropole doit s’attaquer à ce dossier afin d’améliorer les conditions d’installation des investisseurs. Midparc, ZI de Ouled Hadda, Sogepos…Ces zones d’activités économiques se déclinent en un nouveau concept plus structuré avec un aménageur dédié. En tout, une assiette foncière de plus de 5.000 hectares est mobilisée. |
Le Matin éco : Immobilier d’entreprise- Le marché des acquisitions progresse de 54% à Casablanc
Le groupement d’intérêt économique, Statimmo, vient de livrer ses statistiques sur le marché de l’immobilier d’entreprise à Casablanca en 2014. Ainsi, la demande placée de bureaux s’élève à 41.515 m², dont 32.577 m² en location (+11% sur un an) et 8.938 m² en acquisition (+54%). Le groupement affirme que 78% des transactions recensées sont dans le locatif. La répartition de la demande placée montre que la zone Corniche Ain Diab tient la corde avec 39%, suivie de quartier Anfa (27%) et Casanearshore (13%). Le loyer moyen pondéré au mètre carré ressort à 154 DH HT par mois, avec un pic de 200 DH dans la zone Corniche Ain Diab et un plus bas de 55 DH à Ain Sebaâ. |
Aujourd’hui le Maroc : Entretien avec Youssef Iben Mansour, président de la FNPI
Après plus de deux années de déroute, le secteur de l’immobilier serait-il en train de recouvrer enfin toute sa santé ? En tout cas, pour Youssef Iben Mansour, président de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI), 2015 pourrait être l’année où l’immobilier retrouverait ses couleurs d‘antan. Dans une interview accordée à Aujourd’hui le Maroc, il revient en détail sur la réunion tenue le 20 février dernier entre le gouvernement et les promoteurs immobiliers. Il souligne également toute l’importance que pourrait revêtir la mise en place d’un argus de l’immobilier, tout en stigmatisant la spéculation qui existe sur les prix. |